Il reste alors le scénario de l’austérité qui suppose un effort pour réduire les déficits publics et une récession. Les récents soulèvements en Espagne montrent à quel point un tel scénario est dangereux au niveau social et engendre un risque de montée des nationalismes et des populismes.
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C’est complètement pervers comme argumentation. La pauvreté en générée par la crise, elle-même engendrée par de mauvais choix politique fait des victimes chaque jour. Pour être très clair, la pauvreté tue physiquement des gens.
Or, ce qui dérange ce professeur d’unif ce n’est pas qu’il y ait des morts, c’est la montée des nationalismes et des populismes (ce dernier terme ne veut rien dire en soit).
On se demande quelle est l’échelle de valeurs de cette élite dégénérée ?
Par : Père Nation
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